Vous avez les bons produits, les bonnes publicités, les bons automatismes.
Mais les résultats stagnent. Les marges s'effondrent. La concurrence sature chaque canal.
Pendant ce temps, certains marchés restent largement ouverts, voire inexploités :
- Les coûts publicitaires y sont encore sous les 2 $
- Les commandes partent directement depuis les réseaux sociaux
- Le paiement se fait en cash, à la livraison, sans friction ni panier abandonné
Et surtout : très peu de vendeurs disposent d’une structure solide pour livrer.
Ceux qui s’installent maintenant prennent de l’avance.
L’Afrique n’est pas un test.
C’est une extension naturelle pour ceux qui veulent continuer à croître.